Affirmations
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Sources
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Historique
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Approvisionnement
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Déchets en entrée d’un incinérateur
d’ordures ménagères
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pour 100.000 habitants, qui produisent annuellement 38 000 tonnes
de déchets, la capacité du four doit être de 5 t/h. (ces 3 valeurs sont
proportionnelles)
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les matières plastiques sont, parmi les matériaux, ceux qui sont
capables de restituer le plus d’énergie
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Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
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Transport
vers l’incinérateur
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ce sont annuellement des milliers de camions qui viennent et
repartent, 24 h. sur 24, tous les jours de l’année
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Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
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Co-incinération
Co-incinération
= incinération des boues avec les ordures ménagères
(L’usine de Sête est un exemple
de co-incinération)
/ L’incinérateur
du Mirail n’est pas conçu pour traiter les boues des eaux usées
/ Il
traite les ordures ménagères et peut incinérer les granulés issus du sécheur.
/
Un incinérateur d’ordures
ménagères peut brûler les boues de station d’épuration
L’incinération des boues pâteuses avec les ordures ménagères
est techniquement possible mais elle implique des manutentions et des
transports de boues, générateurs d’importantes odeurs.
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Agence
de l’eau Rhin-Meuse. Internet 15/10/99
Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
La
Dépêche du 02-09-99
Nouvelles
des Agences de l’Eau, Internet Juin 97
Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
Dépliant
“ Ginestous ” (Gale des Eaux -Nov.99)
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Financement
(voir ci-dessus “ Cas général des
incinérateurs –financement- ”
Un incinérateur d’ordures ménagères
n’est viable qu’à partir de 40 000 tonnes par an
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Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
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Institutions
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Coûts
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les usines sont de taille relativement importante, pour amortir les
équipements lourds de traitement des fumées
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Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
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Recettes
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Procédé
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Technique
de l’incinération
Objectif
: réduire
le volume des déchets ménagers de 90% et leur masse de 70% ;
c’est le procédé qui permet la plus grande réduction du volume
de résidus à éliminer, sous formes de scories ou de poussières.
Processus
: traitement
par combustion, dans des fours adaptés aux caractéristiques des déchets
ménagers : composition variable et taux d’humidité relativement
élevé. La température s’élève de 700 à 1100 °C.
Un incinérateur s’adapte peu aux variations de tonnage.
Le démarrage de l’installation nécessite un apport de
combustible. Par la suite, l’alimentation en déchets permet l’auto-combustion,
tant que la température des gaz est au dessus de 850 °C.
Moyens
:
Durée
:
Infrastructure :
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Le
courrier des maires -Oct.98, p.48
Mémoire d’Ingénieur –maître de 1993
Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
Le
courrier des maires -Oct.98, p.48
Mémoire d’Ingénieur –maître de 1993
Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
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Problème
technique (défaillance / maintenance)
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Pollutions
créées :
voir
ci-dessus “ Incinérateur, cas général ”
La combustion des matières plastiques crée de l’acide
chlorhydrique, des oxydes de souffre et d’azote, des poussières, des métaux
lourds, des traces de dioxines et de furanes
L’incinération est un mode de traitement aberrant
puisqu’il produit plus de déchets qu’il n’en élimine. En effet,
pour 100 kg de déchets incinérés, il est rejeté 670 kg d’air pollué,
30 kg de mâchefer, 30 kg de REFIOM et 50 kg d’eau saturée en sels
toxiques.
L’incinérateur rejette 1500 molécules aux effets inconnus
sur l’homme
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Mémoire
d’Ingénieur –maître de 1993
Site
Internet de Lunel-Viel, le 23/10/99
Site
Internet de Lunel-Viel, le 23/10/99
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Traitement
des pollutions :
voir ci-dessus “ Incinérateur, cas général ”
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